Le comité de pilotage de la réorganisation de la fonction scolarité vient de se réunir ce 2 juillet. Composé d’une vingtaine de personnes*, il a examiné plusieurs axes : organisation des scolarités, ressources humaines, locaux, etc. Il se réunira à nouveau pendant le chantier qui durera jusqu’à l’été 2014.
Depuis la fusion de 2009, l’Université de Strasbourg a conservé les systèmes de scolarité des trois universités strasbourgeoises (cf. l'encadré ci-dessous). Dans un souci de meilleure lisibilité et de proximité pour l’accueil des étudiants, Geneviève Horny, à la tête de la Direction des études et de la scolarité (DES), est chargée par le vice-président Formation et la directrice générale-adjointe chargée d’appui aux missions, de les réorganiser pour la rentrée 2014. La décentralisation de la fonction scolarité dans les composantes a été choisie.
Ce chantier de décentralisation, démarré en avril 2013, pose deux questions importantes concernant la gestion des ressources humaines (GRH) et les locaux. Il reste à déterminer : les besoins des composantes qui récupèrent leurs étudiants ainsi que le nombre d’agents nécessaires. Une cellule de mobilité des personnels sera alors activée début 2014 et des formations débuteront déjà cet automne. Tous les personnels de scolarité concernés par la décentralisation vont en effet se former sur l’ensemble des tâches qu’un gestionnaire de scolarité doit connaître : inscriptions administratives et pédagogiques, examens, bourses et stages, etc.
Décentralisation
Un groupe de travail composé du vice-président Patrimoine et des responsables administratifs des bâtiments concernés s’est réuni en mai et juin pour avancer sur la question des locaux et estimer notamment les dépenses liées à leur agencement. Des déménagements/aménagements sont nécessaires dans les bâtiments historiques avec le Palais U qui héberge l’histoire et les arts ainsi que le bâtiment de psychologie. À l’Esplanade sont concernés le Portique qui loge les sciences du sport, les arts et les lettres ainsi que le Patio qui accueille les langues et cultures étrangères, les langues et sciences humaines appliquées et la sociologie.
Quid de la DES à la fin de ce projet ? Elle se concentrera sur ses missions de veille juridique, de conseil, d’appui aux composantes et sur ses fonctions centrales. Avec la mise en œuvre du nouveau schéma directeur numérique, la cellule Apogée deviendra cellule Alisée au sein de la DES et augmentera en taille et en technicité.
Fanny Del
*Vice-présidents Formation, Ressources humaines, Patrimoine, directeur général et directeur général-adjoint des services, représentants des collégiums, directeur/doyen et responsable administratif de composante, personnels de la DES.
Pour mémoire, les trois organisations qui cohabitent actuellement fonctionnent comme suit. Toute la scolarité est décentralisée dans chaque composante de l’ancienne Université Robert-Schuman (URS), qui gère ainsi tout le parcours de l’étudiant. Quant aux composantes de l’ancienne Université Louis-Pasteur (ULP), elles s’occupent de tout, sauf des L1 de géographie, psychologie, physique-ingénierie, chimie, math-informatique, sciences de la Terre et sciences de la vie. Ce L1 sciences, qui représente 1600 étudiants et est rattaché à le DES, gère les inscriptions administratives et pédagogiques, ainsi que la préparation des examens, les notes et la gestion des bourses. Enfin, les composantes de l’ancienne Université Marc-Bloch (UMB) centralisent une partie des missions de scolarité à la DES : inscriptions administratives, examens, bourses et stages pour 10 000 étudiants.
Le Jardin des sciences (JDS) a été mis en place en septembre 2008 dans le prolongement de la mission Culture scientifique et technique de l’Université Louis-Pasteur. Anne-Catherine Robert-Hauglustaine, directrice adjointe du JDS, nous explique les missions et les projets de ce service un peu atypique.
Quelles sont les missions du Jardin des sciences ?
Le Jardin des sciences regroupe les actions de diffusion de la culture scientifique et technique de l’Université de Strasbourg. Cela passe par la gestion du Planétarium fixe et mobile, par l’organisation d’activités à caractère scientifique pour les élèves alsaciens en lien avec l’Académie de Strasbourg et par le développement de diverses actions de valorisation des collections universitaires. Au quotidien, nous travaillons en interne avec les scientifiques des laboratoires à tous les niveaux, avec toutes les composantes et une grande partie des services en fonction des projets, et en externe avec le service culture et les musées de la Ville de Strasbourg et de la CUS, la Région Alsace et le rectorat. La fusion des trois universités en 2009 a enclenché un réel mouvement de développement des actions de culture scientifique.
Qu’est-ce qui fait de votre service, une entité atypique ?
Nous pouvons nous distinguer des autres services de l’université pour diverses raisons. Nous avons d’abord une certaine viabilité financière avec un budget sécurisé émanant de l’université complété par des subventions des collectivités locales, de l’État et par les ressources propres générées par les entrées au Planétarium. Nous sommes aussi un service tourné vers l’extérieur, vers les scolaires et les citoyens notamment, nous différenciant du Service universitaire d’action culturelle qui promeut la culture au sein de la communauté universitaire.
Avec vingt personnels, nous sommes probablement le plus important service de culture scientifique universitaire français. Intégré, en tant que service dédié, dans l’Université de Strasbourg, nous bénéficions d’un portage politique fort avec la vice-présidence Sciences en société. Dans les autres établissements universitaires, il est souvent constaté que seules quelques personnes rattachées à un service s’occupent de la culture scientifique. Beaucoup d’universités n’ont pas encore intégré le besoin de créer un service propre.
Est-ce un avantage ou un inconvénient d’être au cœur de l’Université de Strasbourg ?
Si notre statut de service de l'Unistra ne nous donne pas l’autonomie d’une association, c’est une véritable chance pour nous d’être intégré dans l'université. Nous bénéficions ainsi de son poids, de son importance et de son fonctionnement. Dans le cas des investissements d’avenir par exemple, les centres de culture scientifique ayant un statut d’association rencontrent des problèmes car il faut avancer l’argent, ce qui peut les mettre dans des situations délicates.
En outre, l'université met à notre disposition des postes, nous permettant de pérenniser nos actions. Autre avantage, notre position fait que nous n’avons jamais eu de refus de la part des scientifiques. Cela fait l’originalité et l’excellence de nos actions et nous différencie de nos collègues régionaux qui sont liés aux universités par des conventions, des accords.
Le Jardin des sciences est très impliqué au niveau européen. Pouvez-vous nous en dire plus ?
Le Jardin des sciences prend part à la création de pratiques de diffusion de la culture scientifique et technique, et à la diffusion de la recherche, à travers des collaborations et des réseaux européens variés et dynamiques. Nous participons activement à la création d’un réseau de « Villes de culture scientifiques » à travers le projet PLACES, lancé par la Commission européenne et coordonné par Ecsite1 et Eusea2. L’objectif est de toucher 200 villes d’ici mars 2014.
Quels sont vos projets pour les mois à venir ?
À court terme, il y aura l’installation, mi-juillet, de deux expositions sur les grilles boulevard de la Victoire intitulées « Voyage au cœur des océans » et « Un océan pour la vie » et nous préparons le cycle de conférences automne-hiver sur l’eau avec la possible venue d’Érik Orsenna, romancier et académicien français. Nous participerons aussi à la 30e édition des Journées du patrimoine les 14 et 15 septembre et nous organisons la Fête de la science du 9 au 13 octobre.
Pour 2014, le JDS proposera tout un programme sur la cristallographie avec des expositions, des conférences, etc. L’année prochaine verra aussi l’avancement du Plan Campus et notamment des dossiers pour la construction du Pavillon des arts et des sciences qui pourrait être implanté entre les bâtiments de zoologie et de géologie. Il abritera un nouveau Planétarium et une salle d’expositions temporaires. Le musée de zoologie serait lui aussi réaménagé, en partenariat avec la Ville de Strasbourg, à l’horizon 2017.
Propos recueillis par Floriane Andrey
1 Réseau européen de centres et musées de sciencesPremière étape de l’élaboration du budget 2014, le débat d’orientation budgétaire a pour objectif de traduire en termes financiers les axes stratégiques de l’Université de Strasbourg. La lettre d’orientation budgétaire a ainsi été votée lors du congrès du 25 juin. Construite en trois parties, elle retrace le contexte, détaille les moyens et présente les choix stratégiques pour 2014.
Grâce aux efforts de tous les acteurs de l’Université de Strasbourg (Unistra), le fonds de roulement de l’établissement est stabilisé, alors que le recours important aux prélèvements constatés les années précédentes était préoccupant. Cependant, ces efforts doivent être poursuivis en 2014. En effet, afin de programmer des investissements sur la durée et indépendamment des subventionnements extérieurs, un relèvement très important de la capacité d’autofinancement de l’Unistra est absolument nécessaire.
Or, les moyens de l’Université de Strasbourg proviennent principalement des dotations de l’État, de ressources provenant des initiatives d’excellences (Idex), du contrat de site et des ressources propres. Les premières seront très probablement reconduites à l’identique ce qui revient à prévoir une légère baisse du pouvoir d’achat du fait de l’inflation. Quant aux ressources propres, une réelle politique volontariste de recettes est engagée. Ces recettes viennent abonder le budget de l’Unistra et contribueront à dégager un résultat excédentaire.
Préservation de l’emploi
La maîtrise des dépenses est donc indispensable en 2014 comme en 2013 pour compenser la dynamique spontanée des dépenses et dégager ainsi des moyens nouveaux pour financer des priorités tout en stabilisant les crédits de l’université. Dès lors, les choix stratégiques sont de développer des solidarités internes, maintenir un budget soutenable et accroître les marges de manœuvres tout en garantissant un niveau acceptable d’entretien du patrimoine et des équipements.
La lettre stipule clairement : « qu’il n’y a pas de licenciement prévu en 2014 et que la préservation de l’emploi est un choix assumé, les ressources humaines constituant la première richesse de l’établissement ». Les mesures correctives entamées en 2012, et qui commencent à porter leurs fruits, nécessitent encore la solidarité de l’ensemble des acteurs de l’université, notamment entre composantes et services. Ces mesures concernent la poursuite de la rigueur de la gestion des heures complémentaires, l’évaluation systématique de l’offre de formation, le gel des emplois et la stricte maîtrise des supports de contractuels.
Poursuivre les efforts
Pour accroitre les marges de manœuvres, les actions seront poursuivies tant sur les recettes que sur les dépenses. En recettes : une facturation rapide des ventes contribuant à un taux optimal de réalisation des recettes (démarche globale dite de CICF permettant de réduire les risque pour l’établissement) et au développement de ressources propres (le développement de la collecte de la taxe d’apprentissage, les formations en alternance). En dépenses : une gestion responsable (mise en commun des équipement et évaluation de la pertinence des dépenses…) dans tous les domaines.
Concernant le patrimoine et les équipements, les mesures de corrections proposées en 2013 seront poursuivies. Cependant la volonté politique devant construire à la réussite de l’Opération campus reste constante. Et l’objectif principal pour le budget 2014 en matière de numérique réside dans la poursuite et la finalisation des principaux modules du projet Alisée.
Des enseignants de l’université ont participé, vendredi 28 juin, aux Terrasses du numérique organisées par la Direction des usages du numérique (DUN). Pierre Collet et Anna Scius-Bertrand, du Campus numérique des systèmes complexes (CNSC) de l'Université de Strasbourg1, leur ont notamment présenté la première initiative strasbourgeoise.
« Enseigner dans un monde qui change » était la thématique retenue pour ces rencontres dédiées aux nouveaux usages pédagogiques du numérique. Après une introduction aux cours en ligne ouverts et massifs (MOOCs), d’Alain Bolli, ingénieur pédagogique à l’IUFM d’Alsace, Pierre Collet et Anna Scius-Bertrand ont présenté une plateforme novatrice d’enseignement personnalisé de masse, mise en œuvre sur Strasbourg sous forme de prototype2.
« Il y a un an, nous avons créé un Campus numérique des systèmes complexes, science transverse qui apparaît dans de nombreux domaines allant des sciences dures aux sciences sociales et humaines, à l’écologie, dont l’objectif consiste à établir un dialogue entre les scientifiques de ces divers domaines », contextualise Pierre Collet. Ce campus numérique intègre une partie recherche et une partie éducative. En termes de recherche, ce « laboratoire hors les murs » permet aux institutions participantes de construire et déposer des projets de recherche collaboratifs à une échelle mondiale.
Pour la transmission des connaissances, un écosystème éducatif est mis en place permettant aux étudiants de construire des parcours personnalisés pluridisciplinaires pour un objectif spécifique. Ceci est mis en œuvre par une plateforme ouverte d'enseignement personnalisé de masse (POEM) novatrice gérant un entrepôt de petits éléments pédagogiques sous forme de MOOCs collaboratifs desquels émergent des trajectoires personnalisées optimales pour une éducation 4P : participative, prédictive, préventive et personnalisée.
Au-delà des MOOCs traditionnels
Les POEM constitueront l’écosystème éducationnel d’un UniTwin Unesco regroupant 75 universités dans le monde, porté par l’Unistra et l’Université du Havre. Un prototype a été testé sur une première cohorte d'étudiants de master qui semblent satisfaits du système. « Cette initiative va plus loin que les MOOCs traditionnels : nous déconstruisons les cours pour constituer un entrepôt de petites vidéos de 15 à 20 minutes indépendantes structurées en parcours pédagogiques par une hommilière permettant aux étudiants de construire des trajectoires optimales vers leurs objectifs pour une éducation personnalisée », affirme Pierre Collet.
Il ajoute que cette nouvelle pédagogie « laisse l'équipe pédagogique dans la boucle par un rôle de supervision de haut niveau et ne vient pas concurrencer le reste de la formation car n’étant pas destinée au même public ». En effet, Pierre Collet insiste sur le fait que cette nouvelle pratique « permet de diffuser des savoirs au-delà de Strasbourg dans les domaines de pointe et ainsi d’accroître le rayonnement de l’institution. C’est une autre manière de transmettre les savoirs et les savoir-faire et d’élargir l'éducation à tous les niveaux ».
F.A.
Quatre représentants du conseil municipal de la ville d’Alep libre en Syrie, ainsi que des membres de l’association Alsace-Syrie ont été longuement reçus le 1er juillet dernier par une délégation d’universitaires strasbourgeois, emmenée par Édouard Mehl, vice-président Sciences en société, et Francis Kern, vice-président Relations internationales.
Après une phase d’échanges d’informations sur la situation dans la zone libérée d'Alep, et un point sur la dégradation du patrimoine historique et archéologique syrien consécutive à la guerre civile, la situation des étudiants syriens à Strasbourg a été évoquée. L’Université de Strasbourg se mobilise en effet depuis plusieurs mois. Une levée de fonds, via la Fondation de l'université* vise à améliorer la situation des étudiants les plus touchés par les conséquences du conflit. Des démarches sont en cours pour obtenir l’exonération des droits d’inscription pour les étudiants en difficulté financière.
La délégation syrienne a évoqué son inquiétude concernant le risque de non-reconnaissance par la communauté internationale du baccalauréat passé dans la zone de la Syrie gouvernée par les forces non-gouvernementales. « Quant au contenu, et aux modalités d'examen, c'est bien le même diplôme que le baccalauréat "syrien", sauf qu'il n'est pas reconnu par l'État, qui détient, juridiquement, le monopole de la collation des grades. L'enjeu est capital : environ 5 000 élèves s'apprêtent à passer le bac le 15 août, dans la zone libre. et qui pourront, si la France ou l'Union européenne le reconnaissent, aller s'inscrire dans les universités des pays voisins (Égypte, Jordanie...), étant donné que l'accès aux universités sous contrôle du régime, comme c'est le cas d'Alep, leur sera interdit. Un problème analogue se pose pour les étudiants dont les études ont été interrompues, et à qui il ne manque que quelques éléments pédagogiques pour l'obtention du diplôme. Dans certains cas, comme en médecine, où le diplôme constitue une habilitation professionnelle, nos amis syriens ont besoin d'une aide d'urgence pour arriver à finaliser ces études dans des universités européennes », précise Édouard Mehl.
La cérémonie de remise des prix du 41e Rallye mathématique d’Alsace ouvert aux élèves de première et de terminale de l’académie de Strasbourg s’est déroulée vendredi 28 juin au Conseil général du Bas-Rhin.
Quinze binômes et un singleton d’élèves de première et quatorze binômes de terminale ont été primés dans la cadre du 41e Rallye mathématique d’Alsace en présence d'Édouard Mehl, vice-président Sciences en société et Yann Bugeaud, professeur de mathématiques à l'Institut de recherche mathématique avancée (Irma).
Directement inspirée des Olympiades internationales, le Rallye mathématique d'Alsace est la plus ancienne compétition mathématique de France. Il s'adresse à tous les élèves volontaires de l'académie de Strasbourg et des établissements étrangers qui lui sont rattachés ainsi que d'autres partenaires de l’Institut de recherche sur l'enseignement des mathématiques, structure organisatrice.
Cette année, la compétition a réuni environ 800 participants dont 35 élèves étrangers. Les candidats étaient amenés à résoudre, pendant quatre heures, individuellement ou par équipes de deux, trois problèmes originaux faisant appel à leurs connaissances mais aussi au raisonnement et à leurs capacités inventives.
Afin d'échanger des informations avec leurs correspondants, la Direction informatique (DI) et la délégation CNRS Alsace organisent régulièrement des séminaires. Le premier rendez-vous commun pour le réseau du métier a eu lieu jeudi 27 juin 2013.
La réunion s'est déroulée sur une demi-journée au Nouveau Patio. Elle a rassemblé plus de 60 participants qui ont pu échanger sur divers sujets. Ils ont notamment parlé des évolutions de l'infrastructure des réseaux Osiris, plus particulièrement le projet de consolidation des salles machines en ce qui concerne l'électricité, la climatisation, l'amélioration des normes de sécurité, et la mise en œuvre d'une architecture consolidée pour les serveurs. Les participants ont aussi évoqué le nouvel appel d'offre en cours pour le renouvellement des maintenances logicielles et matérielles des équipements réseau et l'acquisition de nouveaux équipements réseaux et WI-FI, les évolutions de l'architecture du WI-FI pour prendre en compte les nouveaux usages et le nombre croissant d'utilisateurs (plus de 10 000 utilisateurs distincts par jour), l'évolution de la plate-forme VPN avec la mise en œuvre pour la rentrée d'une nouvelle solution pour l'ensemble des postes clients et mobiles. Le projet de mise à niveau du câblage et des locaux techniques qui permettra de rendre un meilleur service pour les postes de travail des utilisateurs et de préparer un futur passage à la téléphonie sur IP (ToIP) a également été abordé ainsi que les réflexions en cours sur l'évolution du service de messagerie et d'agenda partagé. Ils ont aussi parlé de l'évolution du service de listes de diffusion Sympa qui vient de passer dans une nouvelle version et qui sera intégré dans les prochains mois à l'ENT et de celle du projet Equip@meso qui vise à proposer des ressources de calcul pour la recherche (plus d'informations sur http://hpc.unistra.fr). Enfin, la CNRS a fait une présentation sur des sujets plus spécifiques au domaine de la recherche et également sur l'offre de service national de CNRS.
Toutes les personnes présentes se sont données rendez-vous l'année prochaine.
Une édition mise à jour de la nouvelle offre de formation est en cours de diffusion depuis le début du mois de juillet.
La brochure recense l'ensemble des diplômes nationaux proposés par l'Université de Strasbourg. Parmi eux, deux nouvelles mentions et trois spécialités inédites en licence ainsi que trois nouvelles licences professionnelles et trois nouvelles mentions de master. A noter aussi, quelques évolutions au niveau des spécialités de master entre créations, passage de parcours à spécialités, etc.
La diffusion du document est en cours mais des exemplaires supplémentaires peuvent vous être adressés sur simple demande auprès de Déborah Aubry-Thomas au Service communication. Vous pouvez par ailleurs retrouver la brochure sur le site internet de l’Université de Strasbourg.
Le calendrier arrêté par le conseil d'administration de l'Université de Strasbourg pour l'année universitaire 2013-2014 est en ligne.
Les cours débuteront la semaine du 9 septembre 2013 après une semaine destinée à l'accueil des étudiants. Pour les composantes ayant opté pour l'évaluation continue intégrale, le premier semestre se terminera la semaine du 13 janvier 2014. Pour les autres, fin des cours prévue la semaine du 9 décembre 2013 avant trois semaines de sessions d'examen.
Le deuxième semestre commencera le 20 janvier 2014 et se terminera la semaine du 19 mai pour l'évaluation continue intégrale et la semaine du 28 avril pour les autres pour des sessions d'examens organisées jusqu'au 16 mai 2014.
09/2013 | 10/2013 | 11/2013 | 12/2013 | |
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<strong>Conseil d'administration - CA</strong> 14 h - Mardi | 24 | 15 | / | 17 |
<strong>Conseil des études et de la vie universitaire - Cévu</strong> 14 h - Mardi | 10 | 8 | 26 | / |
<strong>Conseil scientifique - CS</strong> 14 h 30 - Mercredi | 25 | / | 6 | 11 |
<strong>Conférence des directeurs de composantes</strong> 14 h 30 - Mardi | 17 | 1 | 19 | 10 |
• 6 013 bacheliers inscrits en 2012/2013
• 82% sont titulaires d'un bac général
• 63,5% sont inscrits en licence
Envoyez votre info à lactu@unistra.fr avant le mercredi 11 septembre midi pour une parution le vendredi 13 septembre 2013. Consultez les dates des prochains numéros.